Louise Grenadine - blog slow lifestyle

Les poissons, je les aime dans mon assiette avec une sauce au beurre blanc bien onctueuse, et surtout, je les aime le 1er avril. Faire des blagues ? J'adore. J'y pense plusieurs jours à l'avance pour programmer minutieusement mes gentilles farces.

Je vous donnerais bien mes idées pour demain, mais ce serait dommage que mes "victimes" les découvrent à l'avance. Alors à défaut, je voulais partager avec vous mes jolies découvertes en origami. Les grues, on en a assez vu. En avril, place aux poissons !

L'artiste Sipho Mabona fait de magnifiques installations en papier plié. Il n'y a pas de mode d'emploi pour refaire ces carpes koï ultra réalistes, alors on se rabat sur un version plus kawaii pour en faire un mobile plein de couleurs. ^^

Quelques pliages : en triangle (photo de droite), plutôt carré, en trois plis ou façon poisson volant japonais à huit couleurs.

J'aime beaucoup l'effet que donne le papier plus fin qui laisse passer la lumière au travers. Frais et léger, à déposer devant la fenêtre de son bureau pour l'arrivée du printemps. ^^

Sur son blog Baballa, la blogueuse espagnole propose une pêche miraculeuse avec ses poissons remplis de bonbons style M&M's. Pliage plutôt simple qui met bien en valeur le papier. C'est le moment de sortir les plus jolis du placard.

Et vous, prêts pour le 1er avril ?

Quand on n'est pas au cinéma, au théâtre ou au restaurant, chez nous, on aime bien se faire des plateaux repas devant une bonne série américaine. ^^ Et quand on ne sait pas comment le remplir, on fait les fonds de placards.

Notre dernière plongée entre les paquets de farine et les boites de tomates pelées ont donné naissance à des crostinis saumon et guacamole improvisés. Et comme c'était drôlement bon et ultra rapide à préparer (pour un plateau repas en mode flemmardise, c'est juste indispensable) (sinon, autant se mettre derrière les fourneaux pour de bon ^^ ), je fais tourner !

Les ingrédients

Pour six crostinis :

- six tranches de pain

- 1 avocat bien mûr

- de la sauce tomate en tube

- mélanges d'épices pour guacamole

- un filet de saumon surgelé

- gousse d'ail (facultatif)

- sel, poivre

La recette

Sur une échelle de difficulté : zéro !

Commencer par faire cuire son saumon en le plongeant quelques minutes dans l'eau bouillante à la sortie du congélateur (parce que plateau repas = préparation de dernière minute = saumon non décongelé). Ne pas trop faire cuire pour éviter qu'il devienne sec.

Pendant ce temps, préparer le guacamole, en écrasant l'avocat. Ajouter les épices pour guacamole (plus ou moins selon la sensibilité de son palais) et un peu de sauce tomate.

Une fois le saumon cuit, le réduire en (grosses) miettes avec une fourchette. Assaisonner.

Et enfin, faire toaster les tranches de pain au grille-pain, que l'on peut éventuellement frotter avec une gousse d'ail avant de les tartiner de guacamole.

Variante

Si on a du temps pour un plateau TV semi-improvisé, on peut jouer la carte du saumon aux quatre épices (en réduisant, de préférences, les épices du guacamole pour un mariage plus harmonieux).

Et vous, votre dernier fond de placard, ça a donné quoi ?

Mars, dieu de la guerre, aura livré une belle bataille contre les doudounes et les bottes de pluie. Le printemps semble définitivement installé, et les traditionnelles giboulées n'auront fait qu'une furtive apparition en guest star le temps d'un épisode. Dieu mars, merci !

De mon côté, j'ai renoncé à ne pas avoir l'air d'un estomac sur pattes avec mon instagram rempli à 90% de photos de nourriture et restaurant. On ne lutte pas contre sa vraie nature.

Dans mon retour sur les clichés du mois de mars, je vous ai donc préparé : de belles adresses gourmandes, des essais en cuisine super yummy, et du Mr. Toutou trop mignon. ^^

Canaille poilue

Qui dit retour des beaux jours, dit promenade au parc de la Tête d'Or, avec passage obligatoire par le parc à chiots pour laisser Mr. Toutou s'amuser avec ses congénères (et marquer son territoire sur la moindre mini brindille qui traîne sur le sol...).

Hormis le sale gosse de 5 ans qui donne des coups de bâton sur le museau des chiens (et la mère qui dit "ben quoi ? le parc est fait pour tout le monde !") (je m'abstiendrai de tout commentaire...), c'est toujours super agréable comme pause. On a vite fait d'y rester une heure sans voir le temps passer, tellement on est occupé à regarder le cirque que font tous ces poilus ! (:

Pâques avant l'heure

Je n'aime pas les fleurs. C'est dit. Alors pour me faire plaisir, l'Homme joue les fleuristes d'un autre type : celui qui apporte du chou-cou-lat ! Et les oeufs de Pâques à la nougatine de chez Voisin, c'est juste une tuerie. Une tuerie intemporelle qui me ramène en enfance, avec les oeufs tout pareils mais différents (d'un chocolatier ardéchois) que mes grands-parents nous prenaient pour Pâques.

Une autre tentation à toute épreuve : la friture en chocolat, toujours de chez Voisin. Le chocolat blanc à l'orange ? À se damner !

Mutin butin malin pesti

Oui, on peut s'acheter un agenda en plein mois de mars. Surtout quand la bête est remplie de belles photos et anciennes affiches Londoniennes, et qu'il est soldé à 3 malheureux euros chez Decitre Bellecour. Et comme j'ai déjà un agenda de poche pour mes RDV, celui-là, plus grand, me sert de To-Do-List. Et c'est bien pratique !

J'ai aussi craqué sur des chaussures au rayon enfant. Modèle identique à la version adulte, avec moins de talon. Et surtout, taille 34... on a dû me lancer un reducto sur les pieds.

Deuxième porte à droite

Une adresse au cadre juste trop canon avec son mur constitué de boites de poissons du marché Tsukiji à Tokyo et ses trois grottes : chez Oto Oto ! Testé avec des amis et approuvé à 200 %. Je me suis personnellement régalée avec la poêlée de shiitaké, je recommande chaudement l'okonomiyaki (une crêpe de chou) et les gyozas vapeur au saumon. Miam !

En dessert, je voudrais...

La découverte du mois au supermarché : la tablette Côte d'Or, chocolat noir et noix de coco. Vous voyez les bounty ? C'est tout pareil, en mieux. Parce que le chocolat noir donne plus de caractère et que la couche de coco est bien plus fine. *-*

Un petit détour par Donut Factory après une belle promenade en vélo jusqu'au parc de la Tête d'Or (histoire de reprendre les calories perdues) pour goûter un parfum que je n'avais jamais pris jusque là : pistache, non fourré. Un délice ! (tout comme le chocolat fourré framboise ou le noix de coco fourré mangue... parmi mes préférés. ^^ )

Derrière les fourneaux

Comment rendre un filet de poulet ou un blanc de dinde plus sexy ? Avec la recette immanquable et juste parfaite d'iWebgirl, façon KFC. Avec du poulet le premier essai, et de la dinde la deuxième fois : dans les deux cas, c'est terrible !

En mars, j'ai aussi tenté mon premier rainbow cake. Les petites cousines ont trouvé ça joli, les adultes aussi. Et très bon, tant qu'à faire ! Y a plus qu'à s'y remettre pour, cette fois, prendre le temps de faire plus de photos et vous donner mon méli-mélo de plusieurs recettes. (:

Samedi pluvieux, samedi goûteux

J'ai retrouvé les chocolats chauds si bons que l'on buvait avec les copines de fac à Valence ! Ils sont chez À chacun sa tasse, un salon de thé tout cosy que j'ai beaucoup aimé. Dans mon énorme mug : un chocolat viennois à la myrtille. La prochaine fois, j'achète un paquet de ce cacao aromatisé en partant ! (oui, ils les vendent aussi, héhé !)

Barney style

Jamais très loin ; souvent dans un coin de mon sac : l'Ours Barney, cette petite chaufferette de poche achetée à la Chaise Longue un peu avant Noël pour sa belle gueule et sa matière toute douce.

Et vous, votre mois de mars ?

Plus d'un an que je lorgnais sur les belles sneakers montantes qui ont surgi dans les magasins après le succès du modèle d'Isabelle Marant. Avec leur style sportif / fashion (tout l'opposé de moi, Mademoiselle je ne veux pas faire du sport du coup j'ai l'air d'une vieille de 90 ans après un marathon de treize marches d'escalier), je les voulais à mes pieds.

Et comme il fallait un "mais", je me suis vite rendu compte que ça ne collerait pas entre nous. La basket montante Isabelle Marant est assez volumineuse, et avec mon mini-corps, c'était pas possible. Effet bottes de 7 lieues garanties. Du coup, je suis allée vers un modèle plus fin...

Ce qui n'était pas encore gagné puisque mes mini-pieds et moi, on n'est pas très copain avec les talons hauts perchés. (même compensés) Et le 36, c'était trop grand. Le 35, difficile à trouver.

Bref, j'ai trouvé mon bonheur alors que j'avais totalement fait mourir en moi l'espoir de trouver chaussure à mon pied. Je cherchais d'ailleurs des ballerines toutes molles / ultra confortables (que je cherche toujours...) quand je suis tombée sur elles : mes chaussures bleues à petits brillants et fermetures éclairs, chez Bata.

J'essaie.

36 trop grand. Classique. 35 trop grand. Moins classique. Talon trop haut. Classique bis. Je tourne le regard vers le rayon enfant, et là, je vois le même modèle. Exactement le même, décliné en 34, 33, 32... joie et bonheur sur mon visage.

Je chope un modèle en 34 sous le regard interrogateur de la vendeuse. Parfait. Le talon est plus bas, et je pourrais limite prendre du 33 et demi si le modèle existait en demi-pointures. On se serait cru dans "Chérie, j'ai rétréci tes pieds."

Bref, j'ai enfin trouvé chaussure à mon pied. Et je suis allée faire un petit repérage virtuel sur d'autres modèles (hors rayon enfants). Je vous montre ?

1. Galipa/Met San Marina - 2. Basket étoile Texto - 3. Basket Liberty Anna Field

4. Patrizia Guess - 5. Gliss Redskins - 6. Basket compensée Texto - 7. Basket montante Texto

Et vous, vous avez succombé aux sneakers montantes ?

J'aime les bonnes choses. Un bon burger avec du pain maison et une viande du boucher. Des crêpes au jambon qui ne sortent pas du congélateur mais de ma crêpière. Et des glaces artisanales, onctueuses et crémeuses à souhait.

Et puis, il y a la glace de chez Ikea. Au goût de vanille si prononcé et peu naturel. À la couleur tellement blanche qu'on la prendrait presque pour une glace au citron. Celle qui accompagne forcément le trajet du retour. Celle que je trouve bonne et jolie.

Pourtant, je sais que je ne devrais pas. Surtout maintenant que le lait me réserve d'atroces souffrances abdominales pendant lesquelles je me répète en vain "plus jamais de lait, plus jamais". La gourmandise est un vilain défaut.

La glace Ikea, c'est un peu mon petit plaisir gourmand inavouable. Une glace en kit à 50 centimes, dans laquelle il n'y absolument rien de bon... et pourtant !

Alors samedi, quand on est sorti du magasin, et bien je suis repartie comme chaque fois avec mon cornet. Le Chéri aussi, d'ailleurs. (je balance, j'suis comme ça.) Mais j'ai aussi ramené dans mon panier une belle trouvaille de la collection Brakig.

(j'aurais bien ramené une chaise mint, un tabouret rose, un duo de bols, un lot de boites aux motifs géométriques et un grand plateau sur tréteau pour notre future terrasse... mais y a le mot "futur" là-dedans. Avant de gagner en place (et de pouvoir entasser toujours plus), il va falloir déménager tout ça... j'espère qu'ils referont d'aussi belles choses l'année prochaine ! ^^ )

Donc je me suis contentée d'une boite bleue à trois tiroirs. Elle a tout de suite été adoptée par mon bureau. :D Et côté fourniture, l'excellentissime bon plan Ikea, c'est le lot de quatre blocs à post-it (aux jolies couleurs pastel en plus) à 1,50 €. Pour le même prix, la marque Post-It te propose trois feuilles et demi, hé !

(sinon, j'ai aussi eu la ô combien entêtante musique d'Ikea en tête pendant une après-midi entière) (allez, tous en cœur : Njut Njut Njut Njut Njut Njut Njut Njut♫)

Et vous, les motifs géométriques aux couleurs pastel vous font aussi entrer en transe ?

J'ai, à la maison, un spécimen poilu rare, un espèce d'hybride entre le chien, l'ours en peluche et le chat. Un joyeux mélange qui mérite bien un billet le jour de la Saint Valentin, jour des amoureux mais surtout de l'amour au sens large. Amour pour ses proches, ses amis et pour la petite truffe humide qui vient salir avec tendresse le verre de vos lunettes tout juste nettoyé.

On dit que les chiens ressemblent à leur maître... j'ai tout loisir d'imaginer ce que pensent de moi les promeneurs du parc de la Tête d'Or qui disent avec amusement que Mr. Toutou (Glasgow de son vrai nom) a un petit air hautain.

(imaginez la scène : une femme dégainant son smartphone pour le prendre en photo. Elle l'appelle vers elle. Il s'approche, doucement. Elle sourit, approche son doigt du déclencheur... et là, il se retourne vivement, montrant son postérieur à la sortie du petit oiseau. Une fois. Deux fois. Trois fois... jusqu'à ce qu'elle abandonne. Taquin ?)

Donc oui, hautain. Hautain comme fier, snob, arrogant, dédaigneux, méprisant... on peut s'amuser gaiement avec les synonymes !

Pourtant, c'est pas du tout mon genre (j'vous jure). Mais voilà, il y a quelque chose de félin en lui.

Ce qui nous donne un regard de chien battu à la limite de la larme à l’œil pour obtenir un morceau de ce délicieux saucisson du plateau TV avant de repartir fièrement avec sa proie pour en profiter dans son panier (voire dans le nôtre, de panier) (notre lit...). Et le soir venu, quand le couvre-feu approche, il campe notre lit, demande et redemande encore des grattouilles sur le haut de la tête, et tel un véritable acteur studio, il interprète à merveille sa réplique quotidienne d'un seul regard "hoooo, que je suis fatiguééééé", devenant subitement un tas de poils complètement amorphe. (mais il doit oublier un détail : 2,5 kg tout mouillé, ça se porte sous le bras, direction le panier, sans même un effort.)

Comment pourrait-on se lasser de cette comédie quotidienne qu'il nous joue ? ^^

Et puis, il a aussi ce côté tout guimauve qui vous fait fondre en deux secondes. Sa façon de poser sa petite tête sur mes genoux pour se faire caresser le museau. Ses pluies de léchouilles au retour du bureau. Et sa petite queue qui bat de plus belle quand on s'amuse ensemble... (:

Et vous, vous avec des comédiens parmi

vos amis à poils / écailles / plumes (rayez la mention inutile) ?

Un emballage de tablette de chocolat en papier kraft...

La couverture du livre de Robin des bois...

À eux seuls, ces deux objets seraient juste complètement inutiles s'ils n'étaient pas doublés de feutrine et dotés de quelques points de couture pour en faire deux belles pochettes pour objets technologiques : au hasard, l'iPhone et son grand frère l'iPad.

(mais on peut aussi y faire dormir smartphones et tablettes d'autres marques. Le chocolat et les bons livres ne seront jamais élitistes.)

C'est en cherchant une pochette mon nouveau joujou l'iPad air (après 2 ans de loyaux services, l'iPad 2 a rejoint un nouveau foyer) (et bonjoooour le beau cadeau du Chéri !) que j'ai carrément craqué sur ces pochettes eco-friendly en papier kraft imperméable au look vieillot.

Bref, j'ai réfléchi deux secondes 3/4, j'ai ajouté tout ça dans mon panier, et j'ai patiemment attendu le facteur comme un véritable petit chien de garde. Ouaf !

Le petit plus sympa : les dragonnes. Pas complètement utiles, mais j'adore ça. xD Celle de la pochette iPad a même un petit arbre en porte-clef.

Ces jolies choses...

J'ai trouvé ces belles pochettes sur la boutique Etsy Good Luck Goods dont les produits sont le fruit du travail de plusieurs designers.

Et voici une mini sélection d'autres jolies choses qu'ils font :

Et vous, quels emballages utilisez-vous pour vos joujoux de geek ?

Ce qui est bien, avec les déménagements et les nouveaux chez-soi, c'est de pouvoir entièrement repenser sa déco.

Mais ce qui est frustrant, avec les déménagements et les nouveaux chez-soi, c'est de pouvoir entièrement repenser sa déco, de repérer de belles choses, et de devoir attendre dix longs mois avant de pouvoir faire les premiers achats.

Et autant dire que ma liste de repérage déco s'allonge de jours en jours. L'avantage, c'est que l'on sait (presque) exactement ce que l'on veut. Et notamment : du lin, du bois blanc et du bois brut, et quelques touches rétro.

Bref, quand j'ai reçu le catalogue de la collection été 2014 AM.PM, j'ai ressenti comme une belle vague de frustration de ne pouvoir commencer la déco de notre nouvel appartement !

Je veux de beaux grands rideaux en lin pour encadrer mes fenêtres ? Ils ont. Et mieux, il y a toute une collection de linge de maison en lin lavé (linge de lit, serviettes, nappes...)

J'aime les motifs géométriques et les touches de couleurs pour égayer la maison ? Je tombe sur le superbe tapis Viga corail et écru (en laine ! J'aime les tapis en laine !).

Il y a aussi ces petites choses que l'on ne croyait voir que sur les tableaux déco de Pinterest... Les belles cantines en métal que l'on exhibe comme un meuble à part entière existent "en vrai", et il y en a une belle brochette sur la collection été AM.PM.

Et puis, pour mettre quelques touches de design chez soi, le designer Emmanuel Gallina a collaboré à la création d'une dizaine de pièces (suspension, fauteuil, canapé, bureau...). Des lignes simples et élégantes, toujours les bienvenues quand on recherche une ambiance cosy mais épurée. (:

(pour jeter un oeil à l'ensemble de la collection, direction le catalogue !)

Et vous, quelle ambiance et quelles matières aimez-vous ?

En France, on n'a pas cette tradition du Casual Friday ; du vendredi où l'on jette au linge sale chemisiers, jupes droites et talons aiguilles pour les troquer conte un petit polo sans prétention et un jean à la cool.

Ce qui ne m'empêche pas d'enfiler, le vendredi matin, une tenue plus décontractée. C'est comme une petite fête vestimentaire qui annonce, avant l'heure, l'arrivée du week-end.

(remarque à part : jupes droites et talons aiguilles ne font pas partie de mon uniforme de bureau, et je mets volontiers des jeans avec mes chemisiers tout au long de la semaine.)

Tout récemment, j'ai déniché LE pull parfait pour passer deux jours à la maison quand la pluie tombe sans discontinuer, pour simplement faire une petite virée au cinéma en étant bien au chaud dans mes vêtements ou pour faire un break "campagne" en Ardèche : le pull sportwear tout confort, avec une touche de corail pour le côté girly.

Pull : Pimkie - Jean : Mango - Montre : Casio - Mug : New Look

Bref, LE pull que je pourrais porter tous les week-end si nous n'avions pas cette passion infinie pour les soirées "machine à laver". Plus on lave un énoooorme tas de linge sale d'une traite, plus on est heureux. Une conclusion à laquelle je suis arrivée de façon empirique, bien sûr, et qui n'émane en rien d'une longue et solide réflexion philosophique.

Donc nous sommes des adeptes de la soirée aux trois lavages. 18h30 - 21h30, le grondement du tambour emplit la maison sans faiblir, pour terminer en un essorage bruyant... Trois fois. Autant dire que "ça fait du bien quand ça s'arrête", comme on dit.

#TGIF !

Le week-end ne saurait plus trop tarder.

On va pouvoir se jeter derrière la cravate des chocolat chauds et bubble tea à s'en éclater la panse.

Tenue décontractée exigée.

Et pour vous, le vendredi, c'est détente vestimentaire... ou pas ?

Pourtant, on y passe déjà bien assez de temps. L'eau chaude coule inexorablement dans les tuyaux, presque gaspillée, tandis que l'on se laisse envelopper de sa douce vapeur et que notre peau rougit comme la carapace du homard.

Les considérations écologiques mises de côté, la douche, c'est un moment de détente... et de créativité. Un article sur trois du blog est pensé et quasiment écrit dans ma tête sous les gouttes à 56°C faisant infuser chacune des cellules de mon corps.

Pour démarrer la journée et se sortir du brouillard d'une nuit (toujours) trop courte, pour se délasser après une journée faites d'aller-retour dans le métro grouillant en mode sardine, ou pour entamer le décompte du saut de haies des moutons de panurge... Il y aurait juste mille raisons pour me faire entrer sous le pommeau de douche ruisselant d'eau chaude.

Une bonne raison pour faire entrer dans la salle de bain des petites choses mignonnes et originales, comme celles qui sont récemment tombées sous mon clic impitoyable.

Un projet design aussi hallucinant que génial : le tapis de salle de bain en mousse. Il y a même un tuto (en anglais) pour le réaliser soi-même. Qui s'y colle ? ^^

Chanter sous sa douche est l'un des fondamentaux de l'homme, si on en croit le sens commun. J'aime chanter d'ailleurs, mais pas forcément sous la douche. Et les oiseaux chantent, dit-on. Bref, je verrais bien des oiseaux dans ma douche. ça semblerait avoir un quelconque lien de logique. Je crois.

En tout cas, j'ai un gros coup de cœur pour cette petite étagère que l'on accroche au pommeau de douche et pour les anneaux où sont posés de petits oiseaux blancs. ^^

Et pour vous, la douche rime avec ... ?

Dans la vie, j'ai un souci : boire, ce n'est pas ma grand passion. Je ne parle pas d'alcool (ça, c'est vite réglé puisque je n'aime pas), mais d'eau. Ce liquide incolore, inodore et sans goût (sauf quand il s'agit des imbuvables molécules d'eau estampillées Contrex) (une boisson dont les buveurs disent tous "ouais, mais on s'y habitue au bout d'un moment.") (Moi, j'ai pas trouvé l'intérêt de m'y habituer.).

Bref, à force de me rendre compte en croquant dans mon carreau de chocolat du soir que "m*rde, je n'ai pas bu une goutte depuis hier soir", j'ai décidé qu'il fallait peut-être m'auto-tirer par les oreilles pour commencer à hydrater sérieusement ce petit corps.

Vingt fois que je le dis. Que je le pense. Que j'essaie même. Sans résultat. Il était temps de sortir l'artillerie lourde !

Si vous êtes dans le même cas, je vous propose mon plan diaboliquement hydraulique en quatre étapes :

1. Avoir une solide motivation

En dehors d'échapper aux calculs rénaux douloureux. On sait bien que l'apprentissage par la peur, ça ne marche pas. La preuve, il reste des milliers de fumeurs malgré les horribles images sur les paquets de cigarettes.

La motivation, c'est donc la récompense. Celle d'un corps hydraté de l'intérieur, dans lequel un plissement de front n'entraînera pas l'apparition des premières ridules. Tout est dans l'élasticité de la peau et sa méticuleuse hydratation... et pas seulement externe. Bref, moi, ça me motive grave. Parce qu'à tout juste 25 ans, j'ai déjà deux ridules sur le front depuis bien deux ans, et ça me suffit amplement !

2. Avoir envie de boire

Et ne nous leurrons pas, la meilleure de toutes les eaux minérales ne nous fera pas plus envie que de se tordre une cheville. Quand on a un problème de boisson aqueuse, ça ne disparaît pas avec une Evian - Volvic - Vittel...

On se fait donc plaisir avec une boisson pleine d'eau (les sodas, ça ne compte pas) qui laisse un petit goût de "reviens-y". Comme la miraculeuse eau aromatisée au citron vert ou à la pêche qui ne désaltère pas totalement. Du coup, on boit plus.

Et puis le thé, ça marche aussi.

3. Créer une habitude

Se dire que l'on boit quelques gorgées toutes les heures ? Testée. Efficacité : zéro. Le temps passe, et l'eau ne coule pas dans le gosier.

En revanche, j'ai pris deux habitudes tel un véritable chameau : remplir mes réserves le soir et le matin, juste après le brossage des dents. Ultra pratique et impossible à oublier pour ma part. Le passage du dentifrice assèche ma bouche, si si ! Et c'est toujours ça qui me sauve des 24h sans une goutte d'eau !

4. Le pense-bête

En phase de test : le post-it qui rappelle très gentiment "qu'il faut boire si tu ne veux pas te dessécher comme un vieil escargot écrasé sous les pompes d'un gamin sans cœur." Ou un truc du genre...

Le tout étant de le placer à un endroit stratégique. Oubliez l'écran d'ordinateur ou le tapis de souris : plus c'est sous vos yeux, plus on n'y fait abstraction rapidement. Je veux pour preuve les dizaines de verre d'eau qui ont sagement attendu auprès de l'ordinateur pendant des journées entières sans avoir été une seule fois portés à ma bouche. Ils étaient pile dans mon champ de vision pourtant...

Pour ma part, j'ai choisi : l'agenda (à la page de la semaine en cours, c'est mieux que sur celle des vacances) que j'ouvre plusieurs fois par jour au bureau pour y noter mes rendez-vous, et le paquet de biscuits !

À vos marques... prêts... buvez !

Et vous, vous avez des astuces à partager ?

Crédit photo : Laura - Les hirondelles

Les deux roues motorisées et moi, c'est une longue histoire. Aussi long que peut l'être un voyage de cinq kilomètres à 10 km/h. En scoot. Moitié trottoir, moitié chemin dans ma campagne ardéchoise. Ma seule expérience - comme passagère... Un grand moment !

Donc quand le Chéri a eu son permis moto et l'engin qui va avec, deux questions se sont tout naturellement posées. Vais-je oser monter dessus ? Et que vais-je acheter comme veste et casque de protection qui ne me donne pas l'air d'une mini-robocop ambulante ?

Parce qu'il faut bien l'admettre : se déplacer sur deux roues au lieu de quatre, en ville, c'est drôlement pratique. Une petite course pour acheter mes Prince et Oréo sans lait ? (on en reparle vite tellement c'est génial.) Hop, sur la moto ! Pas de souci pour se garer, et moins de problème d'embouteillages.

J'ai donc commencé à écumer les sites de casques (trop moches) (tout noires) (pas girly pour un sous) (avec un petit air de famille avec Dark Vador (c'est leur père) et les Daft Punk (leur mère ?)).

Autant le dire tout de suite, c'est bien plus facile de rester féminine en moto quand on reste sur de la promenade ou la course rapide en ville, sans autoroute, périphérique ou limitation de vitesse au-dessus du 50 km/h. (ça tombe bien, je préfère les zones à 10 km/h...)

Et c'est là que j'ai découvert ces jolies petites choses pas toutes moches, toutes noires, toutes tristes, toutes robocop-isées.

1. Le casque au look rétro, blanc et camel.

2. Un second modèle de casque qui existe en mille couleurs (sable, ivoire, lavande, rose... !) dont turquoise, pour un côté rétro-kitch-dolce-vita-à-Rome.

3. Les petits gants camel en cuir et coton maillé.

4. Un blouson avec doublure hiver pour les frileuses (c'est moi !), cintrée (alléluia !) et passe-partout avec sa couleur bleue marine.

5. Et la petite veste ultra urbaine style trench, bleue pastel (trop chou !) avec des emplacements prévus au niveau des coudes pour y glisser des protections rigides (hé !).

Alors ok, c'est pas encore gagné pour que je laisse le Chéri dépasser les 10 km/h (priez pour lui), mais tant qu'on reste en mode pépère (et on l'a compris, c'est pas demain qu'on va aller faire du willing sur le périph'), niveau mode et féminité, ça peut le faire !

Et vous, adepte des deux roues ? Des boutiques "fille à moto" à conseiller ?

Crédit photo : JoyHomeDesign.com

Il parait que je ne me fonds pas très bien dans le décor d'un pub Irlandais, dixit le Chéri. Parce que je commande de l'Orangina, que je porte une petite veste cintrée et une chemise à froufrous dessous. Ou un truc du genre.

Faut dire qu'on n'avait pas prévu le détour par le pub pour dîner. Hammam / farniente / promenade, c'était plus ça, le programme.

Du coup, après cette incartade d'un soir, hier, on est allé faire nos châtelainsà coups de "fichtre, vertuchou et sacrebleu !" en s'attardant dans un château niché au bord du lac Léman.

J'en ai aussi profité pour vous montrer ma tenue i-dé-ale pour squatter le comptoir d'un pub, et deux de mes butins des soldes :

- ma petite veste bleue marine que j'appelle affectueusement ma "veste tapisserie" (après l'écharpe tapisserie et le sac tapisserie, il ne me manquait plus que la veste) (j'aime l'effet tapisserie) (plus qu'un pas avant de m'écrier "morbleu" la prochaine fois que l'on me bouscule dans le métro ?)

- et ma pochette camel avec ses petites franges à la Pocahontas.

"Diantre, qui ose frapper ainsi à ma porte ?"

Veste H&M - Chemisier Mango - Pochette David Jones

La "contrefaçon" de l'industrie culinaire, parfois, ça a du bon. Notamment quand ça touche ces petits gâteaux aux rondelles de chocolat et son cœur blanc crémeux. Un an que je n'en avais pas acheté pour cause de haute teneur en protéines de lait.

Et puis, mon petit doigt s'est un jour collé à mon oreille pour me chuchoter un secret : il savait où trouver le Saint Graal du gâteau industriel sans une trace de lait. Mon petit doigt est malin. Il avait piqué l'idée au petit doigt d'une Cerise.

Puisque les gâteaux pour personnes allergiques aux protéines de lait sont rares / hors de prix / rares / pas très originaux / rares / sans trop d'intérêt pour mes papilles gourmandes, c'est du côté d'une épicerie cacher qu'il fallait se tourner.

En effet, dans la religion juive, il n'est pas permis de mélanger viande et laitage au cours du même repas. Dans une épicerie cacher, on trouve donc tout un tas de produits sans lait (parvé) : gâteaux mais aussi crème et margarine !

C'est ainsi que le petit Chaperon Rouge que je suis, emporta dans son panier (non pas à destination de la mère-grand, mais de lui-même) des Chocolate Cremesde la marque Lieber's en guise d'Oréos de substitution, et des Choco Rolls de Shneider's pour remplacer les bichocos.

Mis à part les Oréos qui ont rétréci au lavage, ce sont des copies par-faites gustativement parlant. Tellement que c'en est bluffant. De quoi faire une danse de la victoire d'une minute trente-six non-stop minimum.

Côté prix, c'est globalement l'équivalent des Oréos et des Princes de Lu. Donc pas cher quand on sait que devenir allergique au lait, ça multiplie par trois le prix d'une brique de lait. (à quand le remboursement par la sécu ? ahah.)

Mon fournisseur en drogue sucrée sans lait :

Cacher Price

62, cours de la République

69100 Villeurbanne

Le week-end dernier, mis à part jouer la châtelaine au pub, je suis surtout allée me promener à quelques 150 km de Lyon, du côté de Ferney-Voltaire. Au programme : promenade autour du Lac Léman et séance chouchoutage au spa de l'hôtel Odalys grâce à allo-thalasso.

Pourrie gâtée je suis. Autant dire que j'en ai profité pour recharger les batteries (parce que les vacances d'hiver, de Pâques et de printemps ne passeront pas par moi) (heureusement, il y a ça et là quelques jours fériés qui vont se faire grandement apprécier.)

En fait, ce n'est pas vraiment un hôtel mais plutôt un appart' hôtel. Cachée dans un placard se trouve une petite cuisine équipée d'un lavabo, d'un four à micro-ondes et d'une plaque de cuisson, en plus de la vaisselle et du nécessaire de cuisine.

Bref, on aurait pu se faire notre petit repas dans la chambre, que l'on aurait tranquillement mangé depuis la TV en live tweetant The Voice.

Mais on a plutôt opté pour la solution de facilité : sortir manger un bout dans un pub irlandais super sympa à cinq minutes en voiture de l'hôtel. On en reparlera. ^^

Bref, c'est le dimanche matin que le programme bien-être a démarré.

Comme je ne pense / parle / respire / suis que gourmandise, la première étape indispensable, c'était le petit-déjeuner. Et en cliché de la petite française que je suis, j'ai littéralement foncé du côté des viennoiseries.

Vous voulez me faire plaisir ? Réveillez-moi avec un croissant et son petit frère le pain au chocolat. *-*

Un bon point pour le petit déjeuner de l'hôtel : le choix. Du salé (œufs brouillés, bacon, rösti...), des céréales (dont le Chéri s'est fait un assortiment), de la brioche, différentes sortes de pain, des yaourts, des fruits et les traditionnels cafés / chocolats chauds / thés / jus de fruits.

Le plus dur étant de rester raisonnable quand on enchaîne avec le programme chouchoutage au spa, histoire de ne pas se sentir trop lourd. ^^

Enfilant un peignoir "standard size" taillé pour un géant de 6 mètres que je devais soulever telle une robe de princesse pour ne pas marcher dessus, j'étais prête pour me lancer dans une heure de détente.

Première étape : le hammam. Vide. Rien que pour moi. Pour me poser, fermer les yeux, respirer tranquillement, penser au bienfait pour ma peau, et surtout me détendre. M'over détendre.

Dix bonnes minutes que j'étais dedans. Je me sentais bien. Et la fausse bonne idée germa dans mon esprit. Réciter mon texte de théâtre pour voir ce que cela pouvait donner dans ce contexte. (petite expérimentation de fille qui pense / respire / parle théâtre. Ou presque.)

Deux minutes plus tard, je sortais du hammam sans réussir à reprendre ma respiration... ce qui eu finalement un effet pas si négatif que ça : j'ai enfin pris le temps de lire le petit panneau à l'entrée qui conseillait des séances de 10 minutes maximum suivies d'une douche tiède avant de rentrer à nouveau entre les quatre murs humides.

Trente minutes plus tard, je passais sous la douche à affusion. Allongée sur le dos puis sur le ventre, plusieurs jets viennent masser le corps : pieds, jambes, cuisses, ventre, bras, mains, dos... une demie-heure de pure détente.

Après ça, l'invitation à m'asseoir dans l'espace de relaxation était la bienvenue. Thé ou verre d'eau pour réhydrater le corps de toute l'eau perdue dans le hammam, et on enchaînait par quelques brasses dans la piscine. Piscine qui, notons-le, était totalement déserte à 11h du matin. Que demander de plus ?

Et voilà comment un week-end peut avoir des airs de mini-vacances et vous ressourcer pour retourner au bureau, le lundi. D'ailleurs, si partir pour quelques jours de détente vous titille, pensez à jeter un oeil du côté des promotions, ici, avant de faire votre réservation. Tant qu'à faire, autant profiter d'une bonne offre... !

Hôtel Odalys
13 Chemin du Levant
01210 Ferney-Voltaire

Séjour offert

Deux jours taillés dans le vif du mois de février, et c'en est assez pour le laisser nous filer entre les doigts sans l'avoir vu passer.

Habituellement, je ne l'aime pas beaucoup, d'ailleurs, ce deuxième mois de l'année. Il fait froid, j'enchaîne les épaisseurs de vêtements et chaussettes et je me retranche chez moi dès la tombée de la nuit. Noël au balcon, Pâques au tison, on connait la chanson. Mais pour le moment, je profite surtout du balcon. Parce que cette année, le mois de février a terminé sur une note bien bleue dans le ciel. Et ça, ça n'a pas de prix. (pour tout le reste, il y a mastercard) (con-ditionnée par les pubs, je suis) (heureusement que je regarde peu la TV en fait. '^^ )

Et ce mois-ci, mon compte instagram ne désemplissait pas de gourmandises, mais aussi de petits butins shopping...

Du nouveau dans le bateau

Notre reflex rendait l'âme : j'avais l'excuse toute trouvée pour me faire un joli cadeau qui me titillait l'esprit... un petit appareil photo hybride mignon et léger. Blanc, aussi. Histoire que ce soit un peu plus girly. Bref, on en reparle très vite, parce que j'en suis ravie !

Une petite pause entre midi et deux chez Decitre aura eu raison de ma capacité à résister devant un petit livre de cuisine sympa et un brin régressif : Petits goûters avec les marques cultes.

Et bien sûr, comme il me fallait un nouvel eye-liner, qu'il y a avait 10 € offerts sur un deuxième produit, une carte de fidélité Body Shop à 2 € et ses bons cadeaux qui vont avec... je me suis laissée tenter par une crème de jour hydratante à la vitamine E (pas F ni G d'ailleurs, mais E) qui ne reste pas en surface et hydrate juste ce qu'il faut ma peau mixte.

Du poilu pur jus

Parce qu'il est juste le plus mignon de la terre (et j'assume entièrement le caractère subjectif de mes propos), Mr. Toutou squatte régulièrement mon compte instagram. Ce qui est l'occasion de vous parler brièvement de ce livre à mettre entre toutes les mains : Le Chien, histoire d'un objet de compagnie dont je parle en détail sur le Woof mag'.

De la gourmandise sur la banquise

Le 14 février au restaurant ? No way. Le 15, with pleasure my dear. Et c'est ainsi que j'ai invité mon Chéri du côté de Valmy, au Verre et l'Assiette, pour une farandole de bonnes choses. Escalope de foie gras poêlée, pain au châtaigne et velouté de butternut, suivi d'un tournedos de boeuf avec réduction de vin rouge au cassis et pomme purée au comté avant de terminer sur un macaron au caramel beurre salé et pomme granny.

Une belle surprise dans une nouvelle pizzeria de Lyon également : l'Officina. Un tiramisu ultra léger qui tue et des pizzas à pâtes épaisses extra moelleuses qui m'ont totalement séduites... et pourtant, j'ai toujours eu une préférence pour les pâtes fines ! Comme quoi...

Et puis un déjeuner professionnel "trop dur" au Toaneà Grézieux la Varenne. Millefeuille de saumon fumé et crème de citron vert / épinards, filet de daurade et risotto crapaudine et enfin, le Paris-Brest éclats de nougatine. Je veux bien faire ça plus souvent !

Et vous, votre mois de février ?

Braver les tempêtes de sable et le vent, la pluie et la chaleur suffocante, entamer une pirouette dans une jungle infestée de serpents, enchaîner par un saut de l'ange au bout d'une falaise pour se rattraper de justesse à une liane, tout ça pour sauver un trésor maya inestimable des griffes du méchant Rastapopoulos... un rêve de gamin. Beaucoup trop dangereux aux yeux de quiconque a dépassé la vingtaine et tient un tant soit peu à sa vie.

À défaut, les adultes ont donc inventé : les jeux vidéos. Où tu fais absolument tout pareil, depuis ton sofa si rassurant. Et dernièrement, c'est Kellogg's qui nous embarque dans une aventure de lianes, sauts de l'ange et de totem disparu, avec son jeu Pitfall! TRESOR.

Le but : récolter les morceaux du totem qui ont été dispersés. Un classique du jeu de plateforme.

Jouer, c'est bien, mais gagner, c'est encore mieux ! Une tablette tactile ou une console de jeux à gagner par jour, en France, jusqu'au 22 juin.

Pour participer aux tirages au sort, on télécharge le jeu gratuit sur l'apple store ou le google play (liens de téléchargements disponible sur Chocovore.com) et on termine un niveau, avant d'entrer le code présent à l'intérieur des paquets de trésors de Kellogg's porteurs de l'offre.

Dans un deuxième temps, on peut aussi tenter sa chance pour faire partie des quatre équipes qui s'affronteront dans une véritable chasse au totem grandeur nature, dans un lieu secret en méditerranée. À la clef : un voyage d'une valeur de 10 000 €.

La sélection des quatre équipes se fera au niveau européen, sur des joueurs de plus de 16 ans, qui auront terminé les six niveaux du jeu en ayant ramassé les deux morceaux de totem à chaque niveau, avant le 31 mars. Bref, si vous êtes intéressé... il n'y a plus de temps à perdre ! ^^

(donc je file direct sur l'iPad pour faire un sans faute dans le jeu) (la chasse au totem grandeur nature, y a pas à dire, je voudrais bien y participer !)

Article sponsorisé

Genève. À moins de 150 km de Lyon et à peine 200 km de mon Ardèche natale. Et il m'aura fallu attendre mes 25 ans, 5 mois et 9 jours pour y poser le premier pied. C'est cliché (et qui dit cliché, dit vérité absolue) (quoi... non ?) et bien connu : on ne visite pas ce qui est tout près de chez soi. (c'est sans doute la raison pour laquelle on ne pense pas à faire ami-ami avec ses voisins ?)

Bref, lors de notre petit séjour thalasso, étant à une quinzaine de minutes de Genève, on a franchi la frontière de la langue (ou pas) pour partir à l'étranger !

Remarque que j'ai d'ailleurs fait partager au Chéri : la Suisse, j'ai pas l'impression que c'est l'étranger.

Pourtant, ils ont des flèches trop bizarres sur les routes (ils ont dû être puni de cours de dessin) (sérieux, regardez la flèche qui tourne sur la première photo, ça fait peur, non ?), des feux tricolores qui allument simultanément le rouge et l'orange avant de passer au vert, des petits villages trop mignons parfois assez différents de chez nous et des tirets après les prix au lieu d'un bon vieux CHF.

Bref, j'ai pas l'impression d'être à l'étranger en Suisse. Mais j'adore faire ma touriste, appareil photo autour du cou.

Une devanture alléchante et l'heure du goûter qui sonne au clocher de mon horloge interne nous ont fait marquer une petite halte gourmande au salon de thé - pâtisserie Martel. On a unanimement craqué sur la forêt noire depuis la vitrine. Légère et pleine de crème, avec une fine couche de framboise... parfaite !

La salle, quant à elle, est assez bruyante, décorée à la façon d'un café contemporain et élégant. On y va donc pour papoter et pas pour papillonner des cils en récitant des poèmes à son / sa bien-aimé(e).

Mais clairement, on y entre pour les excellentes pâtisseries, les prix vraiment très corrects, et la carte de thés bien fournie.

Martel Genève

4 rue de la Croix-d'Or

1201 Genève

Pour digérer, une séance photo du côté du lac Léman. Des bateaux, des cygnes, encore des bateaux, des cygnes, et puis des touristes paparazzi sous un grand ciel bleu. Tellement agréable pour se promener et profiter de la vue.

Le jet de Genève attire la foule. Et nous avec. Si vous y allez par une journée de grand soleil, vous aurez sans doute la chance de voir un bel arc-en-ciel se former. J'ai bien cherché le chaudron rempli d'or, mais il semblerait que son gardien l'ai déjà déposé à la banque. Foutus banquiers Suisses ! (-;

Avant de repartir, un petit tour du côté du magasin de jouets Franz Carl Weber. En voyant tout le monde y entrer, on n'a pas pu s'empêcher d'en faire de même... pour repartir avec une peluche de zèbre archi mignon et ultra douce, aux grands yeux verts pailletés. ( > lui < ) (maintenant je veux tous ses amis aux grands yeux : girafe, husky, éléphant, hibou...)

Franz Carl Weber

12 rue de la Croix-d'Or 12

1211 Genève

Une adresse à moins de 10 km de Genève, côté France, que je devais vraiment partager avec vous, c'est le Paddy's Irish Pub (où je suis allée faire ma châtelaine, vous vous souvenez ?). On y mange un fish & chip excellent avec un poisson ultra fondant, pour seulement 13€ !

De mon côté, j'avais opté pour quelque chose de plus léger (j'avais vraiment trop mangé à midi) avec la demi-portion de saumon fumé... une assiette d'une dizaine de tranches. Autant dire qu'ils sont généreux sur les quantités ! (et que pour faire plus léger, c'était totalement loupé.)

Et si on veut travailler son anglais, c'est le bon endroit. Les maîtres des lieux sont anglo-saxons. (:

Paddy's Irish Pub

Chemin de la Poterie

01210 Ferney-Voltaire

En bonus, Mr. Toutou en voiture, heureux de quitter l'autoroute qu'il n'apprécie que moyennement (mais ça a au moins le mérite de ne pas le rendre malade).

Un petit conseil routier si vous allez du côté de Genève et que vous ne comptez pas emprunter l'autoroute Suisse pour traverser le pays : optez pour l'itinéraire passant par Annemasse, permettant d'entrer en Suisse par la nationale. Cela vous évitera de devoir vous acquitter d'une vignette de 40 CHF. ^^

Et vous, vous connaissez Genève ?

Des petits, des gros, des mous, des durs, il faut de tout pour faire un dressing : du mini sac de soirée pour l'unique miroir de poche au grand sac cabas pour y faire entrer sa vie.

Et la semaine, pour ma part, j'ai besoin de la version XL où je peux confortablement installer le livre du métro, mes 156 cartes de fidélité, son altesse l'iPhone et son ministre le chargeur Mophie, la trousse des filles (poudre matifiante, baume pour lèvres gercées du 1er janvier au 31 décembre...), les réserves S.O.S hypoglycémie (soit dix morceaux de sucre) ou encore mon dernier joujou : l'appareil photo qui tient dans le sac !

Bref, j'ai changé de sac, et j'ai réussi à en trouver un assez grand pour y empaqueter ma vie sans pour autant faire le triple de ma taille. (oui, ce n'est pas un scoop : je suis petite.)

Pull H&M - Jupe Bershka - Bottes New Look - Sac Picard - Bracelet Pandora

Et pour tenir compagnie à mon nouveau sac, deux nouveaux charms sont venus se greffer à mon bracelet Pandora (merci l'Homme-Grenadine !!) : la couronne et le bus londonien. ^^

Et vous, il ressemble à quoi votre sac du quotidien ?

Oursons guimauve, Michoko, Smarties, marshmallow, Carambar... laissez-moi nager dedans tel Picsou dans sa mer dorée. Crocodiles, chaussures et flamants roses gélatineux mis à part, j'aime les bonbons.

Donc, j'ai été faible. Je dirais même plus : très faible, quand un livre de cuisine, mini format et spécial sucreries, s'est jeté devant mes yeux au détour d'un rayon chez Decitre. "Petit Goûters avec les marques cultes", de son coupable nom.

Dedans : des photos soignées, de belles couleurs pastel et des recettes de tous types. Boissons, nappages, gâteaux, crèmes glacées...

Big up pour les oursons guimauve fondus sur une tranche de brioche. Bête comme chou, il fallait juste y penser. Petite variante personnelle : une crêpe, trois oursons en son centre... et la magie opère ! (un petit tour au four à micro-ondes ou directement dans la crêpière, et le tour est joué.)

Gros succès pour la crème dessert choco-oursons aussi. L'Homme-Grenadine en redemande ! La prochaine fois, je remplace la crème liquide par de la crème de coco (je me suis récemment découvert une passion pour la noix de coco *-* ).

En parlant de coco, ce dessert vaut particulièrement le détour : Gratin de bananes et cigarettes russes Delacre au lait de coco. (et pourtant, j'ai horreur de la banane en dehors de la version haribo et du fruit tout nu. Comme quoi, la coco, c'est magique !)

Et dans ma liste "à tester avec un gros point d'interrogation sur le résultat" : le milk-shake fraise et Chamallows.

Résultat de ce petit craquage : de nouvelles recettes gourmandes et régressives sans faire mal au porte-monnaie (prix tout doux : 5,95 €).

Et vous, vous avez un livre de recettes sympa à conseiller ?

Cuisiner avec des bonbons, ça vous tente ?

Les petits poissons en origami

Crostinis saumon & guacamole, recette de fond de placard

Les ingrédients

La recette

Variante

Clichés de mars

Canaille poilue

Pâques avant l'heure

Mutin butin malin pesti

Deuxième porte à droite

En dessert, je voudrais...

Derrière les fourneaux

Samedi pluvieux, samedi goûteux

Barney style

Shoes couleur sky with diamonds

Le cas de la glace Ikea... et la douce collection Brakig.

Petit cœur poilu...

Look rétro et papier kraft

Ces jolies choses...

Le lin, le brut et le design

Casual Friday

On devrait passer plus de temps sous la douche

Conseils pour personnes déshydratées

1. Avoir une solide motivation

2. Avoir envie de boire

3. Créer une habitude

4. Le pense-bête

Peut-on rester féminine sur une moto ?

La châtelaine accoudée au comptoir de l'Irish pub

Bichoco et Oréo... sans lait !

Mon fournisseur en drogue sucrée sans lait :

Week-end détente, au spa à Ferney-Voltaire

Clichés de févier

Du nouveau dans le bateau

Du poilu pur jus

De la gourmandise sur la banquise

Chasse au trésor grandeur nature avec Kellogg's

Du côté de Genève et du lac Léman

Nuances de gris dans mon dressing

Le livre de recettes à base de bonbons et autres sucreries